Le Messie de Dune
"Le Messie de Dune" de Franck Herbert
Cycle de Dune - Volume 3
Poche - 315 pages - 6,80 euros
Note : 04/10
Quatrième de couverture :
Paul Atréides a triomphé de ses ennemis. En douze ans de guerre sainte, ses Fremen ont conquis l'univers. Il est devenu l'empereur Muad'Dib. fresque un Dieu, puisqu'il voit l'avenir. Ses ennemis, il les connaît. Il sait quand et comment ils frapperont. Ils vont essayer de lui reprendre l'épice qui donne la prescience et peut-être de percer le secret de son pouvoir. Il peut déjouer leurs plans, mais voit plus loin encore. Il sait que tous les futurs possibles mènent au désastre. Il est hanté par la vision de sa propre mort. Et s'il n'avait le choix qu'entre plusieurs suicides ? Et s'il ruinait son œuvre en matant ses ennemis ? Peut-être n'y a-t-il pour le prescient pas d'autre liberté que celle du sacrifice...
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Dame Jessica est retournée vivre sur Caladan, tandis que Paul règne sur Dune, avec à ses côtés, Chani, sa concubine.
Des complots se trament pour renverser le Muad'Dib dont certains sont jaloux ou bien dont ils ont peur.
La conspiration a fait appel à une technique permettant de se servir du corps d'une personne morte. Ils ont choisis Duncan Idaho, qui a donné sa vie pour sauver celle de Paul. Ils ont fait de lui un ghola.
Bien qu'ayant l'apparence de Duncan, il n'a plus aucun souvenir de son ancienne vie et il sera l'instrument de la perte de Paul.
Ce sera d'autant plus facile que les deux hommes étaient très proches et se vouaient une amitié et une confiance réciproque.
Irulan, la femme que Paul a épousé "pour raison d'Etat" fait également partie des conjurés, ainsi que la révérende mère des Bene Gesserit.
Jalouse de l'amour que Paul voue à Chani, Irulan rêve de porter l'héritier du trône et de détruire Muad'Dib.
S'il me restait des doutes, ils se sont tous envolés. Partis.
Disparus avec le peu d'intérêt que m'a donné ce livre.
Vraiment ce cycle n'est pas pour moi.
Je n'adhère à rien.
L'auteur n'a pas su me donner le moindre intérêt pour le personnage central que j'ai trouvé dans ce tome encore plus fade et/ou pédant que dans les deux premiers volumes.
Ses réflexions personnelles et sont savoir venus de nul part m'agacent plutôt qu'autre chose.
Mais le pire reste la façon d'écrire de Franck Herbert.
Là je m'arrache les cheveux.
Ce n'est pas la moquette de la chambre qu'il a fumé, mais carrément tout un magasin.
Il balance les choses, les phrases, comme ça, sans aucun sens. Et oui je dis bien balancer, et non écrire. Parce que pour moi ce n'est pas écrire ça. Ecrire ça doit avoir un minimum de sens non ? Ca doit vouloir dire quelque chose. Il énonce des évidences qui ne le sont que pour lui.
Là j'ai l'impression qu'il ne s'agit que d'un tas d'idées en vrac qu'il a tenté de mettre en scène pour vaguement vouloir dire quelque chose.
Les banalités du style "mais puisque Paul sait tout et qu'il connaît l'avenir, alors il sait que nous complotons contre lui"....... ben alors pourquoi vous complotez ? Et finalement si Paul sait qu'il va être assassiné, pourquoi ne rien faire ? Parce que ça doit être comme ça ? Ou parce qu'en fait, il ne sait rien ?
Et il veut bien qu'Irulan soit enceinte, mais uniquement pas insémination mais pas de lui.
Donc il ne reconnaîtra pas l'enfant.
Donc elle ne portera pas l'héritier.
Donc les Bene Gesserit perdront le gène des Atréides, alors elles ne sont pas contentes.
Donc........... j'en ai marre, ils me prennent tous la tête, ce cycle me rend folle, je jette l'éponge.
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